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Présentation de John Drake (finish)

Dim 6 Nov 2022 - 11:53


JOHN DRAKEtell me more about you

prénom(s) : John
nom : Drake
date de naissance : 10 Septembre 1987
âge : 35

ville de naissance : Boston
métier : Militaire
groupe : New Eden

avatar : Henry Cavill

what i am

qualites
Créatif
Esprit d'analyse
Concentrer
Prudent
Tenace
s'adapte vite
Volontaire
defaults
Asocial
Pessimiste
Excessif
Rigide
Indiscret
Soupçonneux
Pointilleux
Equipement :
Tenue : Paire de rangers Magnum avec semelle ortholitx1 ; Treillis haut camo marpat ; treillis bas camo marpat ; ceinture tactique x1; Tee-shirt x2 ; débardeur X2 ; short de sport x2 ; sous-vêtements x7 ; paire de chaussettes x7 ; paire de chaussettes hiver/montagne x2 ; paire de lacets x2 ; paire Gants S.O.L.A.G Recon - Blackhawk x2; tenue thermo performer niveau 2 complète avec cagoule x1 ; veste multi-environnement camo marpat x1; bonnet x1



Utilitaire : Lampe tactique Klarus XT11X 3200Lumens rechargeable pour fusil x1 ; lape à lumière rouge x1 ; Lampe Crazyfire x1 ; NVG Gen 3 x1 ; batterie rechargeable pour NVG x4 ; Emport de fixatation tête Nvg  x1 ; bouchons anti bruits EP7 x1 ; Kit de rechargement solaire (pour batterie et/ou pile rechargeable) x1 ; pierre de magnésium x2 ; bande hémostatique x2 ; bande élastique x7 ; bande gauze x5 ; trousse de toilette x1 ; kit de suture ; dose atropine x1 ; dose épinéphrine x 2 ; dose morphine x3 ; gourde x1 ; lunette de combat x1 ; paracorde 20m x1 ; boussole x1 ; Lunette LCD (jumelles de vision infrarouge) x1 ; bobine en kevlar x1 ; sac à dos tactique pare balle de 40 litres x1 ; holster poitrine x1 ; étui couteau x3 ; mousqueton x4 ; tablette de chlore x5 ; rouleau de scotch x2 ; ouvre-boite x1 ; serflex x12 ; Paire de menottes avec clef x2 ; pince multifonction x1 ; cuillère-fourchette x1 ; Poncho x1 ; talkie-walie x1 ; piles rechargeables x4 ; kit de nettoyage arme x1 ; stick de peinture pour visage x2 ; pierre à aiguiser x1 ; tente stratosphère x1 ; moustiquaire x1 ; sac étanche de 105 litres x1 ; pelle-pioche de survie x1 ; lame de harpon 4 dents ; ficelle en nylon 30m x1; hameçon x1 ; montre de plongée ; scie pliante x1 ; conserve de haricots x3 ; conserve de raviolis x2 ; conserve de thon x1 ; conserve de pâté pour chien x4 ; drap x2 ; couverture thermique x1 ; conserve indéterminée x1 ; paquet de biscuit entamé x1 ; canette de bière sans alcool x2 ; pomme x1



Armes : -Fusil de précision M2010 ESR avec viseur tracking point, silencieux, bipied et lanière. 1 chargeur 70 balles de .308.  

-HK 416 canon court avec silencieux, lanière, viseur Eotech EXPS3 et pointeur laser et poignet. Quatre chargeurs et 240 balles

-Masse polyvalente Multisledge

-Hachette de survie



Divers : carnet de croquis x1 ; crayon HB X3 ; bague militaire x1 ; alliance de mariage x1 ; plaques militaires x1 ; android avec 1200 morceaux de musiques dedans et quelques jeux et une coque de protection rihnosield x1
     
Details physiques :
Tatouage militaire à l'épaule gauche et quelques cicatrices par endroits.

Psychologie

Depuis son plus jeune âge, on reconnait à John des qualités indiscutables en matière d’art. Il n’est certes pas le plus grand des artistes, loin de là. Mais certaines de ses peintures ou de ses croquis semblent plaire à quelques personnes. C’est pourquoi durant ces années de collège on le voyait souvent dessiner. Souvent des choses qu’il s’imaginer comme des objets du futurs ou bien même des véhicules du futur. Il lui arrivé aussi de dessiner par moment des gens qu’il croisait d’un simple regard ou bien même ce qui se présentait devant lui. Puis à mesure qu’il semblait s’améliorer, il s’essaya à inventer comme des personnages de fantasy ou bien des monstres afin d’agrémenter ses parties de jeux de rôles. Pour lui, il était important dans ses dessins d’être capable de comprendre pourquoi chaque chose se trouvait là. Mais jamais il ne fut autant fasciné que lorsqu’il vint à découvrir le fonctionnement des voitures. Étendant cela à toute sorte de véhicule, il avait une passion pour saisir et comprendre le fonctionnement d’un rouage, mais aussi comment ce dernier était fait. Il y avait de quoi se faire mal à la tête pour le jeune homme qu’il était.  

Son côté studieux plutôt qu’aventurier lui valait par la même de faire preuve d’un excès de prudence assez maladif. Peut-être trop même, si bien qu’il ne cherchait pas vraiment à l’époque à se faire des amis ou des connaissances. Le cercle restreint à celui de ses voisins lui convenait. Peut-être avait-il hérité de ça de son père. Ce qui est certain, c’est que grâce à son père il avait pu apprendre à survivre comme il le fallait dans la nature. Et plus que du simple camping ou la chasse, il lui avait appris à être tenace. Savoir faire preuve de patience pour saisir son objectif que cela soit un cerf ou bien tout autre chose. Cherchant à faire au mieux, John était le genre d’enfant plus capable d’abattre un cerf pour manger que le regarder gambader.  

En grandissant et en rejoignant un lycée. Le jeune homme ne savait pas vraiment trop quoi faire de sa vie. Gagnant dans la vie, il voyait pourtant à chaque occasion sa défaite. Peut-être était-ce un excès de prudence ou bien alors avait-il tendance à se sous-évaluer. Et sa capacité à ne pas comprendre autrui venait à lui rendre son quotidien difficile. Si beaucoup aux lycées voulaient lui parler, aucun n’y parvenait. La raison étant simplement que John n’était pas du genre à faire confiance si facilement et il préférait voir le mal possible que pouvait lui vouloir les autres plutôt que le bon côté de la chose.  

Mais jamais il aurait pu se douter qu’aujourd’hui tout ceci allait pouvoir lui servir. Survivre était une épreuve de chaque instant depuis qu’il a perdu son équipe. Il n’est pas du genre sentimental, aussi il n’a jamais pris le temps de penser à la mort de ses proches. Hormis peut-être celle de sa femme ou de sa fille. Mais au moins il n’a pas le doute de savoir si elles sont en vie ou non. Car ayant pu assister à leur mort et sans être capable de la moindre chose. Ce n’est pas le doute, mais la culpabilité qui le hante. Une culpabilité qu’il a tendance à évacuer en se défouler sur les “idiots”. Un nom parmi tant d’autres qu’il donne à ceux que certains appellent les rôdeurs. Par moment il lui arrive de s’élancer dans actes que l’on pourrait juger suicidaire. Suicidaire si on n'était pas John. Car il a tendance à toujours vouloir préparer de manière méthodique chaque affrontement qu’il soit avec des vivants ou non. Planifier les combats pour lui, c’est prévoir les sorties, les imprévus et parait à tous autres imprévus. Et son esprit assez inventif lui permet sans aucun mal de saisir bon nombre de situations. Si bien qu’il a pu survivre jusqu’ici, même si à présent il est seul. Seul ? Ce n’est pas si vrai que ça, du moins jusqu’à récemment.  

Car lors de la chute, il a pu compter sur son équipe pour survivre au chaos et même sur eux pour lui permettre de revoir sa famille. Mais le temps passant, il a pu les voir tomber un à un sans douter que cela devait arriver. Peut-être était-il trop pessimiste, mais sachant cela et connaissant les éventualités que cela lui arrive aussi. Il était déjà prêt et se voit presque déjà comme mort. Pour l’heure il ne vit que pour se venger des “idiots” ou des “rampants”. Agissant tel un berserker en quête d’un combat dont il ne serait pas à la hauteur. Et sa foi en l’humanité s’ébranle chaque jour et à chaque rencontre avec des survivants. S’il compte simplement les laisser passer sans même se manifester en restant cacher. Il a pu assister à de nombreuses scènes qui ne manquaient pas d’amplifier sa méfiance à l’égard des autres. Aussi il préfère se tenir à l’écart plutôt qu’autre chose, seule sa survie compte pour l’heure. Mais il arrive un point de rupture où il n'est plus spectateur, mais acteur. Il se montre méticuleux, rapide, agile et concentrer dans ses stratégie. Coriace et tenace il ne fait pas preuve de témérité mais dextérité lorsqu’il se voit obligé d'employer la violence; Avide de nouvelles expériences, il est sage de ses anciennes aventures lui permettant une concentration et un savoir-faire rare dans l'art de tuer.



Story of survival


John Drake, nait dans un quartier populaire de Boston, Brooklyn pour plus de précision. Le jeune John ne se trouvait pas dans les beaux quartiers comme on pouvait s’y attendre. Non au lieu de cela il vivait avec son père, un vétéran français immigré aux USA ayant fait la guerre du Viet-Nam,  dans GreenPoint. Rapidement alors qu’il n’avait que trois ans, sa mère décide de s’en aller. Son père ne lui dira jamais la raison de ce départ ou même il n'expliquera pas ce qu'il a pu se passer. Et il n’entendra plus  parler de sa mère et cela jusqu’à la chute. Même si pour lui, il ne pouvait et ne peut pas appeler cette femme mère.  

Mais rien n’est rose dans la vie du garçon et il devait faire entre les problèmes de son père et ceux qu’il rencontrait de par lui-même. Car son père, un vétéran du Vietnam aimait se dire qu’il avait pour devoir d’inculquer des “bonnes” valeurs à son fils. Propre à sa vision, il n’hésitait pas à le priver de plaisir enfantin au profit de loisir plus constructif et ludique. Si certains jouaient au ballon ou à cache-cache, lui apprenait à faire des nœuds. C’est même à l’âge de huit ans alors qu’il n’était encore qu’au cours élémentaire que le garçon s’en allait à la chasse avec son père. A première sortie, il était juste là pour observer. Un jour assez normal où il apprenait à installer une tente et faire un feu de bois. Mais au jour suivant, tout se bousculait et il devait alors saisir sur ordre de son père le fusil. L’objectif de tout ceci ? Abattre une biche que le duo avait pisté sur un bon kilomètre. L’animal dans le viseur, le garçon ne pouvait se résoudre à l’abattre. Et son père n’hésitait pas alors à insister sur le besoin et le devoir de faire cela. Sous la pression, John, visait, puis il fermait les yeux. Et enfin, il pressait la détente. Le coup résonnait dans sa tête comme-ci le coup lui était parvenue au cœur. Il n’y a nul cris ou bruits d’animal qui est audible si ce n’était celui des oiseaux qui s’envolaient dans toutes les directions. Mais un rire se faisait entendre, celui du père qui venait même à féliciter le garçon pour l’avoir eu du premier coup.  

Le soir même, le garçon se devait d’aider son père à préparer la viande. Et si cet épisode avait pu dégouter le garçon de cette pratique. L'opération se répétait pourtant toujours et encore. Quand ce n’était pas du gibier, c’était des poissons. Ouvrir les proies, les dépecer de ce qui faisait leurs beautés. John ne manque pas pourtant de dessiner quelques pages qu’il amenait avec lui le souvenir de ces bêtes. Certaines plus gracieuses que d’autres. Puis venait pour lui le moment de rentrer au collège. Par chance, certains pourrait dire, mais par malchance pour lui. John venait à intégrer un collège militaire. Suivant une discipline des plus strictes, il n’avait pas droit au repos pendant les rares vacances qu’ils avaient. Son père était là pour assurer sa formation et cela peut-être pour compenser l’absence de mère. Quoi qu’il en soit, alors qu’il quittait le collège sans une seule relation de nouée. John venait à apprendre que son père s’était remarié.  

Et son père avait d’ores et déjà décidait d’envoyer son premier fils et enfant dans un lycée militaire à l’autre bout de l’état. L’idée étant qu’il n’aurait plus à revenir à Brooklyn. Mais si cet insolemment pouvait sembler lourd à supporter. Le garçon parvint à se faire quelques amis au lycée militaire. Là-bas il n’y avait que des hommes et aucune femme. Une riche idée certainement, car les jeunes hommes à cet âge pouvaient se montrer assez difficile. Rapidement il se trouvait une passion pour les arts, l’histoire, le domaine juridique et les langues. Si la partant juridique était presque vide à ce niveau-là d’études. Il parvenait à apprendre plusieurs langues qui lui seraient utiles.Il apprenait notamment le Japonais ou le Russe et même la langue natale de son père le français. Un minimum après tout car son père lui avait obtenu auprès de l’ambassade un passeport français, car c'est vers cette âge là que les expatrié peuvent faire une demande de nationalité au droit du sang. Une volonté du père qui se justifie par un élan patriotique qui lui a prit sur le moment bien qu'il soit parfaitement intégré aux USA. Sans nul doute était-ce lié à sa perception des événements en ce temps là. Passant les années sans que rien d’ordinaire ne ressorte de tout ceci, John quittait donc le lycée et on lui avait déjà tracé une carrière militaire. Ainsi il intégrait les marines, comme son père. Mais à l’inverse de ce dernier on ne le destinait pas au combat au sol, non au lieu de cela on l’envoyait dans les airs. Suivant une formation de pilote, il était d’abord affecté de “simples coucous” pour le transport. Puis rapidement, il faisait ses armes sur des appareils de soutien. C’est ainsi qu’en 1990 il rejoignait les forces de la coalition avec son escadron pour venir opérer pendant la Guerre du Golf. Courte, mais meurtrière. Cette guerre lui vaut plusieurs médailles. Notamment une pour avoir aidé à l’évacuation d’une personne importante en mettant en péril sa vie et son appareil.  

Reconnu et même remercier par certains de ces camarades, les officiers voient en lui une promesse rare. Ils décidaient donc de le transférer auprès d’une nouvelle unité. Prévue pour les opérations spéciales, cette unité regroupe sans aucun doute, les plus prometteurs de l’armée américaine. Et John n’était pas là-bas seulement pour ces compétences en pilotage ou bien pour son courage et sa témérité. Non il avait été choisi aussi pour ses notes lors de ses classes qui lui avaient même valu la classification de tireur de précision. Comme quoi son père lui avait au moins permis d’apprendre à se servir d’un fusil, d’un couteau ou d’un arc. Bien que la dernière arme pour l’armée ne soit pas vraiment utile.  

Apprenant à la dure la réalité de la guerre au sol de par les instructeurs des Delta. Le jeune homme se retrouve rapidement promu Lieutenant au sein d’une unité. Un avantage comme un autre de venir de la cavalerie avec un grade. Mais la paix est précaire et le voici déjà sur le départ alors que la deuxième guerre d’Irak éclate.  

Ses premiers jours sont difficiles, car il part avec son groupe sur une opération secrète avant même le gros de l’armée. Ils sont l’avant-garde, ceux qui devront nettoyer les choses les plus dangereuses. Et comme le dit la devise des Delta : la surprise, la vitesse et la violence de l’action. Il ne compte pas moins d’une vingtaine de cibles à son compteur et quelques moins après l’invasion américaine. John et son unité peuvent rentrer aux USA pour une permission. Le but de cela étant de rentrer pour aller voir sa famille. Mais il n’avait nullement l’intention de se rendre auprès de son père ou de sa belle-famille. Aussi, il restait à la base des Delta Forces en Caroline du Nord. Ne passant pas toutes ses journées à la base, il s’en allait boire un coup ou deux dans des bars. Et c’est là qu’il a pu faire la rencontre de Chloé. Rapidement les deux sympathisent et pendant un mois ils se côtoyaient même au point que John s’en aile par moment chez elle. Mais voici que John se devait de repartir au front. Les morts et les missions s’enchainaient tout comme les formations où John apprenait à piloter diverses choses en plus des hélicoptères comme des blindés ou même des drones. Les exercices étaient plus nombreux que les affrontements et cela même pour la meilleure unité du monde. La mécanique comme les chars n’avaient plus de secret pour lui. Les explosifs une arme comme une autre même s’il préférait son fusil. Et le hasard voulu qu’il tombe même sur des soldats Japonais en Irak. Aussi curieux que cela puisse paraitre, profitant de son savoir en matière de langue. Il finissait sur cette note avant de rentrer pour une nouvelle permission aux USA.  

Sans attendre il profitait de cette dernière pour se rendre auprès de Chloé. De fil en aiguille et au bout deux trois mois et suite à l’annonce de son nouveau déploiement. Il se retrouve marié à la dame. Un mariage qui n’est pas innocent et pas entièrement souhaité dans le sens où la femme s’était surtout retrouvée enceinte. Mais cela allait aussi bien à John qu’à Chloé. Au mariage il avait même invité les membres de son escouade où au fil des missions il a pu apprendre à leur faire confiance. Les permissions et les missions s’enchainent et l’enfant répondant au doux nom d’Emily grandissait rapidement. Puis en 2013 c’était enfin la fin de la guerre. Bien sûr, il n’y avait pas que cela comme conflit ou lieu d’intervention pour l’unité de John. Mais il pouvait à présent être bien plus présent pour sa famille. Au final, il était même promu capitaine et dirigeait sa propre petite équipe bien qu'il faille alors déménager dans le Nord de l'Idaho auprès d'une annexe des Delta. Sa femme était une brillante avocate, sa fille âgée de huit ans allait à l’école et était très studieuse. Et par-dessous tout il n’avait pas un seul crédit sur le dos. Une vie presque parfaite pour l’homme qu’il était.  

Mais vint la chute  ...


Rédigez ici la survie de votre personnage.

Chapitre 1 : La chute  (du 14/10/2015 au 25/10/2015)



Lorsque l’état d’urgence fut décrété, on mobilisait alors l’unité de John pour la sécurité du territoire. Dès les premières heures le voici en train de partir pour l’autre bout de l'état pour la ville de Twin Falls dans l'Idaho, pour maintenir l’ordre et surtout pour protéger un membre du gouvernement assez important. Le déploiement fut fait en hélicoptère de manière assez rapide. Au nombre de trente les Delta prenaient place dans le bâtiment du DEQ où se trouvaient de nombreuses cibles à protéger. Après tout c'était là le bâtiment le plus important sur le plan administratif de la ville où tout y était géré. Mais John ne comprenait pas la raison du déploiement aussi intensif de l’armée. Car même pour lui c’était encore un secret bien gardé. Il avait pu dire à sa femme de s’en aller rejoindre ses grands-parents à seulement trois heures de route de sa nouveau lieu d’affectation. Une réaction peut être exagérée de sa part, mais il se disait que l’on ne déployait pas autant de militaire sans une raison qui serait de longue durée.  

Le premier jour, soit plus précisément le 14 octobre 2015, se passait assez bien. John avait la chance de ne pas se trouvait affecté à un barrage mais à un bâtiment. Au moins il pouvait se poser comme il fallait de temps à autre et la pluie n’était pas là pour lui faire tomber la misère du monde sur la tête. Et même s'il y a quelques problèmes mineurs, ils ne touchaient en rien la sécurité du bâtiment auquel est affecté John.  

Au deuxième jour, c’est là que tout commence. Une personne étrange semble se présenter à la grille arrière et tape sur cette dernière et se massant contre elle. La scène était hallucinante et elle n’était pas sans rappeler à John ce qu’il avait pu voir des populations en manque d’eau. On lui demande alors rapidement de s’équiper et de s’en aller, avec un subalterne, régler le problème. Tentant d’abord le dialogue au travers de la grille. Ce fut dans l’obligation de ses fonctions qu’il dû user de son bâton pour calmer l’homme. Il ne faisait que crier pour avoir un peu de sécurité, mais les ordres étant les ordres. La police rappliquait peu de temps après pour emmener l’homme. Mais un petit malin avait eu la bonne idée de filmer la scène et de la poster sur les réseaux. Une vidéo qui n’avait aucun impact sur la carrière de John, mais qui lui valut de recevoir un appel de sa femme inquiète de la situation surtout après avoir vu la scène. Même si le visage de John était alors masqué et donc méconnaissable.  

Le troisième jour, des gens semblaient vouloir protester pour des motifs assez claires et quoi de mieux que le bâtiment le plus important de la ville pour cela. Les ordres identiques aux jours précédents, John et cette fois-ci, dix hommes avec lui s’en allaient à l’entrée du bâtiment. Mais par chance le rassemblement n’avait pas lieu proche de leur bâtiment. Aussi ils étaient là à faire face au vent. Cette journée-là fut assez ennuyante en plus d’être fatigante à force de porter l’équipement anti-émeute. Mais on annonce rapidement que lendemain sera une journée un peu plus difficile pour l’équipe de John.  

Et c’est ainsi qu’au quatrième jour, soit le 18 octobre 2015, John se voit subir sa première émeute. Les ordres sont clairs, disperser sans attendre la foule. Aussi les lacrymogènes sont tirés après de brèves sommations. Mais ceci ne suffisant pas et subissant des tirs de projectiles enflammés. John se voit obligé alors de sortir son arme de poing et de tirer quelques coups en l’air. Un effet qui provoque sans aucun mal le chaos, mais un chaos qui s’éloigne du lieu pour s’en aller ailleurs. Laissant alors tout ce bazar aux équipes anti-émeutes de la police.  

Mais ce fut le 19 octobre que les choses devenait plus sérieuse. La loi martiale fut établie et dans un même de par son ancienne formation et du fait qu’il manquait des pilotes dans ce coin-là du pays. On venait à affecter un hélicoptère de transport à John. En charge du pilotage comme de la révision aux côtés des mécaniciens. Il devait aussi gérer le bâtiment sur place. Car son supérieur avait reçu d’autres ordres et il ne laissait donc que six hommes en comptant John sur place. Le bâtiment serait difficilement défendable si une trop grande foule venait à se masser contre les grilles du site. Mais l’hélicoptère était là pour l’évacuation au cas où. L’hélicoptère en question, un simple UH-60, empruntait à l’US Navy. Autant dire que ce n’était pas l’idéal pour du support au sol entre ses deux mitrailleuses latérales et ses paniers de roquettes ou ses deux canons de 30 sous les ailes. Mais c’était mieux que rien et puis il y avait assez de place pour transporter une vingtaine de personnes et un peu moins si l’on devait amener du matériel. Devant le bâtiment John pouvait même remarquer quelques chars passer. De quoi lui remémorer quelques souvenirs d’Irak ou même d’Afghanistan pour son déploiement en 2014.  

Un jour passe puis deux et enfin trois. Et le chaos semble être devenu une habitude. L’électricité n’a de cesse que de sauter et de revenir, un bon moyen pour bousiller les appareils se disait John. Les coups de feu se font entendre, les forces de l’ordre ou même les militaires ne semblent pas pouvoir calmer la foule et il y a même quelques cas de désertion. John se disait qu’il n’allait pas tirer sur ceux qui fuyait pour des raisons incertaines, mais il n’appréciait pas non plus cela. Son équipe quant à elle avait le mérite de rester soudée. Même si rester dans le même bâtiment durant tout une semaine ne leur était pas agréable. Alors qu’à quelques kilomètres de là, leurs camarades se trouvaient en premières lignes pour gérer les gens.  

Puis le 25 octobre c’est à que pour la première fois John a pu apercevoir l’un des infectés. Le port du masque à gaz en extérieur étant devenu obligatoire pour lui et son équipe. C’est donc avec le bruit de sa propre respiration qu’il s’avançait jusqu’à la grille avec son bâton. Avec lui se tenait un camarade, James Miller. Au départ, John lui demandait de simplement reculer, mais l’homme n’entendait rien comme le précédent d’il y a quelques jours. De ses bras il semble vouloir comme saisir les militaires. Ne cessant de lui demander de cesser cela, John remarquait alors que ce dernier était blessé au niveau des côtes et du bras. Sur le bras il y a une grosse plaie qui ressemblait presque à une morsure. Pour les côtes il ne voyait pas très bien. Mais par radio il décidait d’appeler le médecin de l’équipe, Dave Stimson. Mais l’ancien chef de la sécurité des lieux ne manquait pas de rappeler qu’il fallait garder les grilles fermées.  D’autant que le forcené ne semblait pas vouloir entendre raison et continuait d’agiter les bras au travers de la grille. Un premier coup de bâton fut donné par Miller dans le but de faire baisser ces derniers. Mais l’homme continuait, aussi d’autres coups vinrent et l’homme semblaient toujours debout, presque comme s’il ne ressentait pas la douleur au niveau de ses bras. Aussi et rapidement, John sortait son arme de son holster et il la pointait en direction de l’infecté. L'homme ne réagissait pas et il semblait toujours vouloir continuer à forcer le passage. Mais finalement, c’est le chef de la sécurité qui cédait à la force du moment. Sortant son arme bien après John, c’est pourtant lui qui tir un coup dans la poitrine de l’étranger. Ce dernier ne réagissait pas, du moins il reculait un temps de par la force de l’impact mais il se jetait à nouveau sur la grille de manière toujours aussi féroce. Comme attend de la rage, John pouvait entendre aisément ce dernier comme râler ou grogner. Rapidement le chef de la sécurité continuait alors son œuvre voyant que rien n’y faisait. Il vidait son révolver avec six coups dans le tronc et rien ne permettait de mettre un terme à cela. John quant à lui et tout comme son équipe, était formé à être efficace que cela soit sur les vivants ou sur ce qui ne l’était visiblement plus on l’avait entrainé à viser dans la tête ou le cœur et nulle part ailleurs. Aussi si le cœur ne fonctionnait pas, un tir bien ajusté serait suffisant se disait-il. D’une seule balle de son arme de poing, il venait à achever le supplice de l’homme. Le coup résonnait dans sa tête, comme lorsqu’il avait abattu pour la première fois du gibier avec son père. Dans son esprit il se demandait si cela était mal ? Mais aucune réponse pour le satisfaire. Laissant le corps là exposé à la vue de tous, il rentrait dans le bâtiment en confiant à Miller et Stimson le soin de s’occuper du corps lorsque la nuit viendrait. Un moment plus propice pour ouvrir la grille.  

Mais ce qu’il ne savait c’est qu’il y avait eu deux erreurs de commises. La première, les coups de feu et la seconde l’idée d’ouvrir la grille.  Car à la nuit tombait, les deux soldats obéissaient et ils ouvraient la grille pour placer le corps dans un sac. Vérifiant une première fois qu’il n’y avait personne, la rue étant plutôt bien éclairée rien ne pouvait leur échapper, les grilles furent ainsi ouvertes. Les grilles en question ou tout du moins celles à l’arrière fonctionnaient sur un rail.  

Pendant ce temps John passait un appel à sa femme et sa fille. Sa femme venait alors à lui avouer qu’elle avait contacté son père afin qu’il puisse les rejoindre chez ses grands-parents. D’abord furieux, John passait rapidement à autre chose. Le mal était fait, l’appel avait eu lieu il y a une semaine et par chance le père comme la belle-famille avaient pu prendre l’un des derniers vols sans même savoir que cela serait le cas. Mais pendant cet appel, il entendait alors des coups de feu à l’extérieur. Sortant en laissant sa femme à l’autre bout de la communication. Il voyait ses deux soldats en train de tirer à tout va. En allant dans la rue il voyait déjà une dizaine de corps au sol. Mais surtout que ces derniers étaient éclairés par les lampes torches des soldats, car oui le courant avait sauté encore une fois, laissant la rue dans les ténèbres. Les tirs étaient précis, une balle par tête. Mais la masse ne cessait de grandir à mesure que les corps s’amassaient. Et pendant que ces hommes tentaient de retenir le gros de la horde. John s’empressait de se jeter sur le portail. Tentant de le pousser de toutes ces forces. Il n’avait pas alors ces gants et il venait même à s’ouvrir les mains en poussant ce dernier. D’abord le mécanisme ne bougeait pas, puis il finit par y arriver et ce dernier bougeait même de manière assez simple. Aussi John rappelait ses hommes sans attendre. Certains infectés trébuchaient même sur le corps des autres tombés sous les balles. Et bien que cela fut juste la grille fut fermée. Les hommes venaient à tenir la grille le temps que John applique des serflex pour la maintenir fermée sans l’aide de qui que ce soit.  

Une fois fait, le groupe s’en allait à l’intérieur et John reprenait le téléphone pour terminer sa discussion de manière brève avec sa femme. Lui demandant de rester prudente et de ne laisser entrer personne chez ses grands-parents. Après cet appel, il s’empressait de rejoindre la radio pour contacter son supérieur direct, mais aucune réponse. Alors il cherchait à contacter la base la plus proche. On venait à lui ordonner d’évacuer en ordre le site pour rejoindre un camp spécifique avec sa cible à protéger.  

Organisant le tout, John embarquait surtout les documents importants dans des caisses et les matériels militaires, soit les radios, les armes, les munitions et les ordinateurs. Le tout s’en allait dans l’hélicoptère dont le moteur tournait déjà. John préparait tout et il faisait même déjà monter à bord la cible à protéger. Mais allumer l’hélicoptère était une autre erreur. Car voici que cela venait à exciter les infectés. Sur la grille de devant, le service de sécurité de base ne parvenait à maintenir la grille sous le poids considérable des infectés. Tirant sans vraiment mettre coup au but, la grille tombait laissant alors renter dans les lieux. Quatre Delta se trouvaient à l’entrée après être arrivés en urgence. Ouvrant le feu sans sommation après l’épisode précédent à l’arrière. La situation semblait peu à peu être maitrisée. Mais c’est là que le courant revenait. Une bonne chose pour certains comme les hôpitaux, mais une terrible chose pour eux. Car le dernier ordre qu’avait reçu la grille à l’arrière était celui d’ouvrir la grille, aussi forçant le serflex et brisant se dernier. La grille arrière s’ouvrait. Laissant rentrer à présent la horde par deux endroits. Rapidement les Delta regagnent l’appareil qui a tout juste assez de place pour eux. Laissant donc sur place les membres de la sécurité à leur sort. Ce n’est pas une première fois que les Delta doivent prendre une décision difficile, mais cela ne reste jamais facile à accepter. Survolant la ville qui connait de nombreux incendies, émeutes et horde d’infectés. Le spectacle horrible et des avions passent même non loin juste au-dessus de l’hélicoptère en survolant ce dernier. Cette nuit s’achève avec l’atterrissage au fameux camp de réfugier qui se trouve au collège de Shoshone que l’armée avait en charge. Ravitaillement l’hélicoptère comme il faut, les Delta reste sur le pied de guerre, car une mission les attend peut-être à nouveau.  



Chapitre 2 : Réunion familiale  (26/10/2015 au 12/12/2015)



Dès le lendemain, John est assez inquiet de la situation et demande une autorisation pour une patrouille auprès des fermes afin de réquisitionner des vivres. Une excuse comme une autre pour s’en aller rejoindre sa femme et la ramener au camp. Fort heureusement pour lui sa demande et son planning son accepté et c’est ainsi qu’avec son escouade à bord de trois véhicules il s’en va chercher sa famille même si l’idée de revoir son père n’est pas pour le ravir. Le voyage n’est pas long et au passage, le convoi en profite pour prendre les familles des autres membres de l’escouade. Des personnes peu nombreuses si bien qu’elles n’ont pas pu se rendre sur les lieux indiqués à cause d’imprévus non définis. En arrivant à la ferme, il est heureux de remarquer la présence de sa fille et de sa fille il salue aussi ses beaux-parents. Mais ignore presque son père. Il remarque cependant l’absence de son demi-frère ou bien de sa belle-mère. Une absence que son père lui expliquera par le décès de ces derniers. Cela ne faisait pas plaisir à John pas plus que ça ne le touchait vraiment. Après tout il connaissait à peine ces derniers. Ceci expliqué, John alors explique la situation pendant que ces hommes chargent quelques sacs de céréales. Il demande alors à sa famille bien vouloir embarquer avec lui pour les ramener au camp. Et si sa femme, sa fille ou son père son réceptifs au message. E beaux parent préfèrent rester là dans leur ferme, même si cela veut dire mourir ici. Après dix minutes à tenter de les convaincre, rien n’y fait. Pas même Chloé ne parvient à faire cela. Aussi le convoi repart en laissant deux personnes sur place.  

En arrivant au camp c’est toujours autant le bazar, mais John à l’avantage d’être un militaire et un officier aussi il dispose de sa propre chambre dans laquelle il s’en va loger sa famille.  

Les jours de novembre s'enchainent et la vie se fait assez difficile au camp. Au moins ils ont de la nourriture et de l’eau. Ainsi qu’un toit pour faire face aux pluies et aux basses températures qui semblent plus fraiches en cette fin d’année. Il y a quelques infectés de temps en temps, mais le camp à l’avantage d’être un peu éloigné de tout.  

C’est alors qu’il reçoit une nouvelle mission. Celle de s’en aller amener son vip vers un autre camp. S'en allant avec son convoi et non son appareil cette fois après un simple au revoir à sa fille et un baiser à sa femme.  

Le trajet n’est pas bien long, mais proche de l’objectif, une fumée se fait apercevoir au loin. Plus porche de cette dernière il s’agit du camp qui semble envahit d’infectés. Nul besoin d’ouvrir le feu, cela serait gâcher des munitions pour ne sauver personne au final. D’autant que l'essencee commence à se faire rare. Aussi John en profite pour rentrer au camp se ravitailler. Une fois au camp, il n’a pas le temps d’aller voir sa famille qu’on lui demande d’accompagner alors le vip à la base aérienne la plus proche. Sans attendre, il obéit et le voici à nouveau dans les airs avec son équipe. La base de Mountain Home. est un peu plus loin, mais avec un hélicoptère tout est plus rapide. Aussi le groupe arrive en milieu d’après-midi à la base. Chargeant diverses caisses de nourritures et de munitions à bord et ravitaillent l’engin. Le groupe laisse donc l’homme important sur place. Puis il décolle à nouveau en direction du camp un nouvelle fois. Arrivant de nuit, la zone est plutôt lumineuse. Trop lumineuse et en réalité le camp et en proie aussi à des flammes. Si certaines parties du camp semblent être tombées entre les mains des infectés. John fait atterrir son appareil sur l’hélipad sans attendre. La mission défendre le camp. Si ce n’est pas possible récupérer ce qu’il est possible de récupérer. Aussi il laisse le soin à Miller de tenir l’hélipad et de protéger l’hélicoptère, pendant que le groupe s’en va dans les entrailles du camp. Le chaos est présent partout et la situation semble déjà perdu. Se demandant comment cela est possible, c’est là que John réalise que les infectés ont encore une ouïe voire même une très bonne audition. Et que c’est même certainement le bruit de leur hélicoptère qui à mener la horde du camp d’avant jusqu’ici. Mais ne se souciant pas de cela pour l’instant, il cherche comme un fou sa femme et sa fille. Plongeant au cœur de la foule, il vient à être bousculer par des civils en paniquent et tombe sur le sol. C’est là qu’un infecté se rapproche de lui, sur le point de le mordre, son père ne manque pas de venir à son secours. D’une balle dans la tête du monstre, il vient à aider son fils à se relever. Mais c’est en voulant le remercier que John remarque son père était déjà mordu. Aussi pas un mot n’est dit. Et à deux ils cherchent ensemble dans le camp. Ils finissent par tomber sur les deux filles. La scène est presque trop belle pour être vraie, mais la réalité est sanglante. Car la femme tient leur fille morte dans les bras, il n’y là aucune morsure c’est simplement une balle perdue qui l’a eu. Tombant à genoux et accusant le coup. C’est le père de John qui décide de diriger le trio Si le perd tient le fils en le fixant sur l’une de ses épaules, la femme quant à elle porte le corps de leur fille. A présent le défi est pour eux de regagner l’appareil. Une chose qui ne sera pas aisée. D'autant qu’il n’y a qu’une seule personne pour protéger le groupe. Quelques civils posent problèmes, mais une simple menace avec une arme suffit à dissuader ces derniers d’insister. Rapidement le trio rejoint l’hélipad et le père de John n’hésite pas à donner un coup de poing à ce dernier pour l’aider à se ressaisir. Une méthode violente qui a peu de chances d’aboutir et pourtant. Puis les quatre autres Delta parti dans le camp reviennent certains avec des proches d’autres avec des sacs de vivre ou d’armes. Et alors que tout le monde compte embarquer, le père décide de rester sur place, se disant déjà perdu. John est perdu et tente de le raisonner, mais rapidement un groupe d’infectés tente de rejoindre l’hélicoptère dont le moteur chaud recommence à tourner. Se sacrifiant en faisant barrage de son corps, il donne tout juste assez de temps à l’appareil pour décoller. Miller, un des Delta, fait preuve d’humanité et tir un coup fatal dans la tête du père de John. Une manière comme une autre pour l’empêcher de souffrir. Secoué par ce qu’il vient de se passer, John doit à présent gagner la base aérienne avec son appareil et à bord il est le seul avec son copilote capable de piloter un hélicoptère ou un avion voir un même char si cela s’avère nécessaire. Sa spécificité qui lui est propre au sein de son groupe, même s’il sait faire d’autres choses bien évidemment. Mais alors que tous à bord se pensaient à l’abri et qu’à la base aérienne était leur dernier espoir en Idaho. Voici que la fille de John se réveille pendant le trajet, ne manquant pas de mordre dès son réveille sa mère qui la pensait alors en cet instant encore vivante. Un des membres de la famille de Miller vient alors à agir par réflexe dans cette situation tandis que tous observent impuissants. Et il détache la mère pour ensuite la poussée par-dessus bord avec la fille. Observant la scène aux commandes et en étant impuissant, un de ces hommes installé là en tant que copilote et avec à peine de notion en pilotage reprend les commandes. John lui est paralysé par ce qu’il vient de se passer et il le restera jusqu’à ce que l’hélicoptère se posent à la base aérienne. Là pendant presque une semaine il restera dans sa chambre sans piper le moindre mot à qui que ce soit.  



Chapitre 3: La mélodie du Chaos  (12/12/ 2015 à 18/07/2016)



Le mois de décembre et de janvier sont pour John est épisode qu’il passera assez vite pour lui. Faisant le minimum pour ne pas être viré de la base, il n’est même plus aux commandes de son groupe qui à l’inverse de sa personne s’en vont en mission de patrouille à l’extérieur du camp. Il faut dire que la perte de toute sa famille en une soirée n’est pas sans lui avoir laissé des séquelles. Il devenait aussi renfermé qu’il avait pu l’être auparavant et plus méfiant à l’égard de qui ce soit, sauf peut-être ses coéquipiers. Mais c’est à la fin de janvier que tout se bousculait. Il n’avait pas encore fait le deuil de ses proches, qu’une horde approchait déjà de la base. Bien sûr tout le monde était mobilisé. Saisissant son arme et mettant à une guérite, les coups pleuvaient dans tous les sens. Tous n’étaient aussi précis que John qui ne raté presque aucun de ses coups. Si bien que le mur finissait par tomber. Se réunissant par chance ou par hasard, l’un comme l’autre n’étant pas si différent, le groupe s’en allait dans les baraquements pour récupérer leurs proches. Mais pour John, une autre tâche l’attendait avec un Stimson qui avait lui aussi perdu sa famille. Cette tâche consistait à réunir vivre et munitions dans un hélicoptère et à décoller une fois tout le monde à bord. Il n’y avait ainsi que de l’action et encore de l’action dans la vie de John. Et étrangement, le fait de tirer sur les infectés, semble comme lui faire oublier la douleur qui le ronge.  

Chargeant l’appareil sans problème, ils n’ont pas pu prendre celui qu’il avait pu avoir auparavant. Au lieu de cela c’était un Chinook que l’on nomme techniquement CH-47. Mais il se trouve que les gens semblaient tarder à venir rejoindre l’hélicoptère. Et pourtant les moteurs tournaient déjà. Aussi le duo de Delta prenait place aux postes de tourelles pour ouvrir le feu sur les infectés qui se rapprochent trop de l’engin. Les tirs fusent et la violence de l’acte qu’aime les Delta et bien présent. Tant l’arme se montre puissance, les corps des infectés se font sectionner en deux. Nul besoin d’en achever certains, car ils ne peuvent tout simplement plus bouger. Puis au loin en voit un petit groupe s’amener avec eux les autres Delta. Par chance il y a largement de quoi les prendre à bord. Une fois le groupe au complet dans l’hélicoptère, John cède sa tourelle à un de ses coéquipiers pour prendre les commandes l’hélicoptère. L'appareil à du mal à démarrer et le groupe doit donc temporiser le temps que tout puisse fonctionner. Si au départ il n'y a pas encore beaucoup d’infectés qui se ramènent. D'autres finissent arriver lorsque les pâles tournent enfin.  Attirant d'autant plus d'hostiles. Ouvrant le feu sans lésiner sur les moyens. Puis le groupe de survivants décollent en observant une nouvelle fois un camp de réfugié être en feu. Il y a même un avion qui tente de décoller, mais la horde étant présente sur la piste, il n’y aucune chance pour eux d’y parvenir. Des infectés se faisant écraser par les roues qui finissent par bloquer ces dernières tandis que d’autres se font aspirer par les réacteurs venant à détruire ces derniers. Et alors que l’avion était déjà lancé, il finit donc sa course en s’écrasant contre les citernes à carburant. Provoquant une explosion si grande, qu’elle vient à réchauffer les gens à bord du CH tout en secouant violemment ce dernier.  

Si John ne sait pas où aller un groupe décide de sortir une carte de regarder si dans l’état de l’Oregon il n’y aurait pas quelque chose d’assez bien pour s’y installer. Ceux avec la carte en main cherchaient surtout un lieu dans lequel ils pourraient éviter d’être trop proche des grandes villes, des routes et voies ferrées.  

Puis un lieu a été décidé.  



Chapitre 4 :  La rédemption n’est pas permise (18/07/2016 au 17/09/2018)



Le groupe décide de s’en aller donc en Oregon. Et plus précisément dans la petite ville de Veronia située non loin de Vancouver. Et non pas la Vancouver du Canada, mais la ville e Vancouver proche de Portland. L’hélicoptère n’a presque plus une goutte et il appartient au Delta de d’abord sécuriser le lieu avant de s’en aller chercher du kérosène quelque part.  

Sur place en l’espace d’une semaine, ils parviennent à sécuriser le lieu assez facilement. Le bruit de l’hélicoptère résonant entre les forêts, les collines et les montagnes. Rien ne semble avoir attiré beaucoup d’infectés.  

Il se trouve que le groupe à sécuriser une station de pompier, lieu idéal pour trouver de l’eau à profusion bien que l’eau à l’état naturel ne se trouvait pas très loin non plus. Il y avait aussi quelques restes de matériels médicaux, mais rien qui ne soit trop extravagant non plus. Et pour la nourriture, le groupe devait s’en aller en chercher même si le besoin n'était pas urgent au vu des réserves ramenées depuis la base. Les murs en béton pouvaient aisément contenir, les éventuels infectés.  

Aussi tout se passait bien, et ce n’est qu’au bout d’un an en ce lieu que les problèmes finissent par surgir. Il y a bien sûr eu des tensions, mais qui ne soit catastrophique. John a pu faire son deuil du moins en partie, même s’il n’a de cesse encore que de se venger sur ceux qu’il nomme à présent les “idiots”. Un terme que n’apprécie pas certains civils dans le groupe et qui en inquiété d’autres de voir John s’amuser avec ces derniers en testant leurs capacités de compréhension à des fins purement puériles.  Mais c’est là qu’intervient le nouveau facteur. Un jeune se fait attraper dans la ville par deux des Delta qui décident de le ramener à la base au vu de son état. Bien sûr ils le soignent, mais ils cherchent aussi à comprendre d’où peut venir ce dernier alors que cela fait un an qu’ils sont dans la ville sans avoir croisé personne d’autres qui n’est pas rejoint leur groupe. Un groupe par ailleurs qui ne compte pas moins d’une trentaine de personnes.  

Mais rien aucune réponse de sa part, le mystère reste tout entier. Aussi la plupart des gens décident contre les indications des militaires de le relâcher et même de lui donner quelques vivres pour survivre par ses propres moyens. Une grave erreur qui mènera à la mort de deux soldats. Car en réalité ce jeune faisait partie d’une bande de pillards. Et le camp en question qui semble peut-être un peu trop gentil avec les inconnus et donc la cible de ce groupe. La bataille est acharnée et s’étale sur plus d’un mois via de nombreuses embuscades avant que les quatre derniers Delta du groupe ne décident d’agir plus sérieusement. Connaissant parfaitement le fonctionnement des infectés dit classique. Ils s’arment de silencieux et de leurs tenues pour finalement sortir et rejoindre le camp des pillards. Un soldat vient à y laisser la vie en prenant une balle à la place de John, même si n’empêche pas aussi ce dernier de s’en prendre une autre. Le gilet a tout pris, mais il y aura tout de même un sale bleu. En définitive ce groupe de pillard vient à rendre John d’autant plus méfiant et cela des étrangers comme des civils dans son groupe qui sont une source d’ennuis permanente à ses yeux. En plus d’avoir perdu des soldats dans cette histoire, quelques civils sont morts tandis que d’autres sont partis avec une partie du matériel et des vivres. Le moral et la joie ne sont pas présents à ce moment-là. Et plus le temps passe plus le groupe commence à se disperser. Ne laissant plus que Stimson, Miller et John ensemble. Un groupe plus petit mais sans les problèmes des civils.  



Chapitre 5 : La solitude est un art (17/09/2018 à 12/06/2022)



Aussi c’est donc en septembre de 2021 que le groupe ou plus précisément le trio décide de s’en aller. Leur route les mène donc en direction de Portland. La ville est loin d’être vide de vie ou plutôt de mouvement. Car en route ils peuvent croiser plusieurs hordes. Qu’ils évitent toutes sans problème, hormis une seule. Fuyant entre les ruelles de la ville, le trio tente comme il peut de s’extirper des entrailles de la ville. Mais l’erreur est faite et elle va leur coûter un membre qui finira par se faire mordre en cours de route. Ce n’est d’ailleurs pas la seule chose qui leur arrive, les munitions baissent rapidement et le fusil de précision n’est pas fait pour fouiller les bâtiments.  

Dans leur fuite, la multitude de zombi les oblige à s’en aller vers le Nord plutôt que l’Est. Traversant Vancouver, ils espèrent atteindre la Vancouver canadienne avant l’hiver. Mais sur le chemin un impératif s’impose celui de mettre une balle dans la tête Stimson, le soldat mordu à Portland. C’est à contre-cœur que John accepte de faire cela.  

Poursuivant leur route, ils finiront par tomber sur un autre groupe de bandits. Plus petit et moins préparé, c’est tout de même avec un profond regret que John perd son dernier ami en vie. Miller.  

Comme ce dernier l’avait fait pour son père, il décide de lui offre son salut d’une balle dans la tête en n’osant même pas regarder ce qui se déroule sous ses yeux. Aussi le soldat continue sa route tout seul. Les routes ne sont plus sûres et il doit vite trouver de quoi se nourri. Aussi il avance en forêt. Plus sûr par rapport aux vivants, il espère simplement ne pas tomber sur une horde en cet endroit-là. Un espoir qui se voit réalisé car il arrive finalement jusqu’aux porte de Seattle plus au Nord. Peut-être est-ce de la chance ou non, mais il ne croise personne en route, il ne sait même s’il est le dernier survivant ou non dans cette partie du monde. Il tombe même sur un panneau indiquant Sout Creek plus au Nord à deux kilomètres. Il ne connait pas vraiment cette ville, mais en-dessous et indiqué Seattle et sa distance. Autant dire qu’il a bien dû zigzaguer dans la forêt pour avoir mis autant de temps afin d’arriver jusque-là. Aussi il décide de poursuivre sa route toujours en direction du Nord. En revanche il ne compte pas s’aventurer dans la grande ville de Washington. Après toute la dernière ville du genre qu’il a pu visiter avait pris la vie de deux de ses compagnons et les derniers qui plus est. Mais voilà il se rend rapidement copte qu’il va devoir passer par Tacoma. Aussi plutôt que s’aventurer en surface il préfère descendre dans les égouts. Une bien mauvaise idée qui lui aussi de prendre un de ses sacs contenant certains de ses précieux équipements. Mais plus de frayeurs que de mal il parviendra à s’en sortir et se rendra alors de l’autre côté de la ville à l’Ouest de Seattle.  

Là il se pose et installe un camp en forêt non loin d’une rivière et avec quelques lieux autour qui sont toujours exploitables, même si ces derniers sont presque totalement vides.

Dernier chapitre au lien suivant : Ici

 


La vie de John au camp n’est pas une chose si complexe que cela. Il se contente de simplement suivre les ordres en tant que bon soldat qu’il est. Bien sûr il n’obéit pas à toutes les règles et en quelques mois il n’a pas su s’y intéresser. Simplement ne les a-t-il jamais enfreinte car on ne lui a rien reproché. Il ne cherche pas vraiment de femme comme il devrait le faire bien évidemment. Après tout le souvenir de son ancienne lui est fortement douloureux.  

Aussi, en se levant il prend sa douche froide, car il n’est pas vraiment friand de tout ce qui se rapporte à la chaleur, sauf peut-être pour ce qui concerne la nourriture. Puis après quoi il s’équipe, fouillant dans son sac qu’il aime cacher sous on lit bien que cela ne soit pas vraiment caché. Il prend son plus petit sac sur le dos avec ses armes. Il a la chance de vivre dans une maison avec le fait de disposer de sa propre chambre. Et ensuite il s’en va prendre son planning du jour à l’un des postes auquel il est affecté. La mission du jour est simple, le matin il se doit de veiller à une portion du mur de Walla Walla. Un lieu avec un nom auquel il ne parvient pas à s’y faire. Et l’après-midi il doit s’en aller en patrouille aux abords.  

La première partie de la journée n’est pas vraiment pour lui faire plaisir, car comme souvent dit, il est plus un sauvageons ami de la nature qu’un citadin. Mais un devoir et un devoir et s’il veut manger il doit bien s’enquérir de répondre aux demandes. En parlant de nourriture par ailleurs, il saisit l’un de ses tickets dans son sac. Avant de travailler il est toujours important de s’en aller grailler, comme il aime le penser et dire de temps à autre. Depuis peu et avec les problèmes d’énergies et les attaques des mois précédents. Le groupe a dû se voir revoir à la baisse certaines, chose mais de par son rôle au sein de la communauté. Il a la chance de se voir recevoir un peu plus que la normale.  

Mangeant comme il faut il finit par rejoindre son coéquipier sur le mur. Un nouveau comme il avait pu l’être auparavant. C’était donc à lui de surveiller le nouveau pour voir son taux d’investissement dans sa tâche nouvelle.  

Mais dans son viseur rien ne semble paraitre, pas même un rodeur. Aussi le temps si vite que cela en est presque un calvaire. Mais vient enfin l’après-midi. Son petit plaisir de la journée, celui de s’en aller ailleurs. Bien sûr, là aussi il a droit à un autre repas de par les bons qu’il a. Mais il se refuse presque toujours un repas à midi à présent, peut-être pour garder la ligne, mais son corps y est habitué. Bien que ce dernier le gronde sévère quand il ne mange pas le soir même.  



Là à l’extérieur, les alentours sont plutôt calmes et il doit rejoindre le poste de sécurité numéro douze. A partir de là il devra faire une petite halte avec son équipe du jour pour ensuite s’en aller un peu plus loin et partir en reconnaissance. Une tâche pour laquelle il est meilleur en solitaire, mais il doit bien encore une fois obéir aux ordres. Un peu comme dans les temps passés.  

Hormis quelques rodeurs la patrouille semble bien se passer. Rien à signaler sur quelques kilomètres et le nouveau étant presque à bout de souffle. John décide de rentrer au camp afin de se débarrasser de lui.  

Ainsi s’achève sa journée après l’écriture d’un bref rapport qui explique tout roule comme sur des roulettes. Il terminera donc cette journée au mess avec son ticket à la main prêt à se saisir de son repas du soir avant de rentrer chez lui pour y dessiner dans son carnet. Bien que le dessin soit bref tant il n’y a rien eu à faire en cet instant.  


time to meet the devil

• Pseudo (sur internet) : Akari/ShootingStar/John
• Âge irl : 27Vous pouvez répéter la question ?
• Personnage : Inventé
• Comment avez-vous découvert le forum ?pifomètre
• Qu'est-ce qui vous a convaincu de vous inscrire ? j'aime bien la série et le côté survie
• Voulez-vous un parrain pour vous aider sur le forum Oui
• Crédits (avatar et gifs) Henry Cavill.

• Code du règlement Ok Maddie

fiche (c) langouste.
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Re: Présentation de John Drake (finish)

Dim 6 Nov 2022 - 12:01

Bienvenue John !

Bon courage pour ta fiche !



bienvenue sur le forum !


Te voilà fraîchement inscrit(e) sur The Walking Dead RPG ! Après avoir lu consciencieusement le règlement du forum, voilà quelques petites choses à retenir pour tes débuts parmi nous :

1 – Le délai pour finir ta fiche est de 10 jours. Un délai supplémentaire peut être accordé par un membre du staff sur demande.

2 – Si tu as oublié de le faire avant de t'inscrire, jette un petit coup d’œil aux bottins des noms, des prénoms, des métiers et des avatars.

3 – Lors du choix de ton avatar, il est important de bien respecter ces deux points du règlement : Les images choisies doivent être cohérentes avec le contexte, et l'âge de ton personnage avec l'aspect physique de ta célébrité.

4 – Afin d'éviter les RP répétitifs d'intégration dans un camp, nous te conseillons d'intégrer ton personnage à un groupe dès son histoire ! Si tu choisis d'intégrer le groupe des Travelers, il te faudra conserver ce statut durant 1 mois minimum avant de pouvoir t'installer dans l'un des groupes sédentaires.

5 – Si tu comptes jouer un Remnants et que ton personnage est intégré au camp avant juillet 2019 dans son histoire, il se peut que celui-ci ait été vacciné contre le virus qui transforme en rôdeur. Pour savoir si c'est le cas, rendez-vous ici.

6 – Si ton histoire comporte des personnages que tu souhaiterais proposer en Scénario, sache qu'il faudra également patienter 1 mois et être actif en zone RP.

7 – Une fois ta fiche terminée, signale le dans ce sujet AVERTIR ▬ FICHE TERMINÉE.



Bonne rédaction !



Présentation de John Drake (finish)  CMPAvfs
Otis A. Copeland
Otis A. Copeland
Expendables
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Re: Présentation de John Drake (finish)

Dim 6 Nov 2022 - 12:04

Bienvenue John ! Bon courage pour la suite de ta fiiiiche :smile35:


  
It does not matter what kind of vibe you get of a person. Cause nine times out of ten, the face they’re showing you is not the real one


Spoiler:
Axelle Muldoon
Axelle Muldoon
The Exiles
Modératrice | Corbeau énervé
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Re: Présentation de John Drake (finish)

Dim 6 Nov 2022 - 12:13

Bienvenuuue !



si le soleil se lève sur les autres
On a dévalé la pente en moins d'deux, on a fait comme si on savait pas. On a évité les regards ambigus, on a fait comme si on pouvait pas. On a dessiné la zone, évité les roses, repoussé la faune, compliqué les choses. Mais maudit ami, je veux plus : Danser ce slow avec toi
Johanna L. Gordon
Johanna L. Gordon
Sanctuary Point
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Re: Présentation de John Drake (finish)

Dim 6 Nov 2022 - 12:17

Welcome John avec ce fc masterclass ! Présentation de John Drake (finish)  1342238320

Courage pour la fameuse fiche ! :smile2:
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Re: Présentation de John Drake (finish)

Dim 6 Nov 2022 - 12:35

Bienvenue John, et bon courage pour ta fiche !
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Re: Présentation de John Drake (finish)

Dim 6 Nov 2022 - 12:42

Bienvenue par ici Jojo et bon courage pour ta fiche ! :smile34: :smile35:
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Re: Présentation de John Drake (finish)

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