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Liliya Medenko

Mar 15 Mar 2016 - 10:06


Liliya Medenko
27 ANS • AMÉRICAINE D'ORIGINE SERBE • DANSEUSE-CHORÉGRAPHE • TRAVELER EN QUÊTE DE GROUPE

i've got a war in my mind

J'aurais aimé dire que je suis toujours quelqu'un de bien. En fait, il y a beaucoup de choses que j'aimerais pouvoir dire : mais il faut une utilité à un mensonge, un dessein. Je n'en trouve aucun à vous mentir, alors je vais dire la vérité.

La vérité c'est que je suis une personne distante ou froide qui ne fait plus grand-cas de ce qui est bien et de ce qui ne l'est pas. Ce sont des intérêts d'un autre temps, des questions qu'on ne se pose plus maintenant. Je crois qu'à force de voir mourir des gens, on finit par ne plus vraiment s'attacher. Ça n'en vaut plus la peine, en fait : tout est si éphémère. Je me rappelle qu'à une époque je pensais devenir maman très bientôt... L'idée est tellement risible aujourd'hui. Et c'est une fille de sage-femme qui vous dit ça.

J'ai peur presque chaque jour de ma vie. Avec la peur est venue la colère, aussi. Contre les rôdeurs, contre ce que nous sommes devenus, les autres et moi-même. Je suis croyante, vous savez : là d'où je viens, je suis Musulmane - ces Slaves islamisés qui eurent droit de nationalité - mais pour vous, mettons simplement que je suis Serbe. Je crois en Dieu et je crois toujours. Seulement, j'ai revu Dieu tel qu'il m'était présenté dans la tradition de mon enfance. Je ne suis pas certaine qu'il sauvera mon âme, mais je refuse... qu'il n'y ai aucun témoin de notre extinction. L'humanité, avec tous ses travers et ses torts, avait malgré tout quelque grandeur. Elle ne peut pas s'éteindre ainsi et être oubliée... Forcément, il y a forcément quelqu'un, quelque part là-haut, qui nous contemple et nous survivra !

Dieu est l'épitaphe de notre espèce. Le salut, c'est peut-être uniquement la mémoire de qui nous étions, avant le jour où ce monde ne sera peuplé que de morts-vivants.


and blood on my hands

Son contrat à l'armée a donné à Liliya le goût de l'exercice : mais c'est surtout son activité de chorégraphe de comédie-musicale qui lui a donné sa silhouette souple et athlétique. Elle fait 1 mètre 68 pour 60 kilos ; jamais la danseuse n'aurait pensé qu'une bonne forme physique était aussi essentiel à la survie.

Elle a pris pour habitude de rassembler ses cheveux couleur de miel sur la nuque et derrière les oreilles, dans un souci de ne pas être gênée précisément en cas de course. La jeune Slave a hérité de sa mère des traits anguleux, avec un nez droit surplombant des lèvres minces. Ses pommettes saillantes donnent une multitude de fossettes à son sourire, du moins lorsqu'elle veut bien en esquisser un. De son père, Liliya a reçu ses yeux à la teinte hésitante entre le bleu et le gris, s'accordant finalement sur des reflets froids évoquant un ciel d'hiver.

L'immigrée appréciait ces vêtements bariolés, chemises à carreaux et autres fripes s'approchant du cliché vestimentaire canadien : aujourd'hui, elle a préféré laisser ses goûts de côté au profit d'habits sombres, moulants, qui ne risquent pas de s'accrocher au décor ou de laisser une prise facile à un zombie un peu trop près d'elle.

a storm is coming

Mon histoire ne commence pas avec la guerre. Vous, vous ne la connaissez probablement pas et au fond, moi non plus... mais elle commence avec la haine de l'après-guerre. Le conflit qui a éclaté en 1992 entre les Serbes, les Croates et les peuples qui devenaient devenir Bosniaques... C'est toujours la même rengaine : des gens veulent vivre selon d'autres traditions, d'autres coutumes, d'autres cultures. Des gens ne veulent pas. Des gens sont prêts à mourir pour leur droit à la liberté d'être, d'être tels qu'ils sont, et d'autres sont prêts à tuer pour les en empêcher. Puis vient la rancœur et ceux qui étaient prêts à mourir deviennent prêts à tuer à leur tour, et l'on ne peut plus guère prétendre appartenir au camp des gentils ou accuser vos opposants d'être les méchants...

Mes premiers souvenirs sont ceux des combats. Je vivais avec mes parents, ceux de mon père et mes deux frères dans un petit immeuble de la banlieue de Sarajevo : de cette demeure, je retiens des odeurs plutôt que des souvenirs en images et en bruits. Cela sentait la lavande dans ma chambre et cette senteur un peu salée qui évoque l'air frais du soir dans le salon. Toute la bâtisse a soudain vibré, par un après-midi tiède du début de l'automne : il y a eu un craquement de fin du monde, le gémissement hurlant d'une centaine de tonnes de béton et de métal lorsque le milieu de la structure s'est effondré suite à l'impact d'un obus de 125 millimètres.

Il y a quelques années je me suis surprise à mettre le nez dans des livres d'histoire au sujet du siège de Sarajevo. Les experts assurent qu'en moyenne plus de 300 tirs d'artillerie étaient effectués chaque jour : moi, j'en retire l'impression confuse qu'il s'agissait de beaucoup, beaucoup plus.

Je me suis réveillée dans un lit d'hôpital aux côtés de mes parents. Mon papi, ma mamie et mes deux frères n'avaient pas pu être tirés des décombres : on nous a dit que les débris s'étaient affaissés lorsqu'on avait tenté de les dégager, emportant les corps dans une petite avalanche de moellons et de parpaings déchiquetés. Une nouvelle salve avait contraint les services de sauvetage à se replier, m'emmenant avec mon père et ma mère dans cette clinique publique déjà surchargée.

Le médecin qui s'est occupé de moi était gentil - le docteur Djević. Il a pleuré, lui aussi, lorsqu'il m'a annoncé les décès. Il n'était pas si jeune que vous pourriez le penser ; peut-être quarante ou quarante-cinq ans. Je suis restée dans mon lit pendant quatre jours avant que mes parents ne m'attrapent pour que nous filions à l'anglaise au risque de rouvrir nos sutures... Ils avaient appris que Djević était marié à une Croate.

C'était un motif suffisant.  

La guerre s'est officiellement terminée l'année suivante. Officiellement, bien sûr ; vous savez très bien qu'une guerre ne s'arrête pas avant, dans le plus favorable des cas, la mort de la génération qui l'a vécue. Souvent, ses horreurs se poursuivent au travers de descendants qui ne savent plus guère pourquoi ils agissent ainsi, cependant que peu de choses pourraient les en détourner.

Nous n'avons pas quitté Sarajevo. Parce que nous avions entendu l'appel de l'Islam, les Serbes de la ville disaient que nous étions Bosniaques et nous rejetaient. Parce que nous étions venus de Serbie, les Bosniaques disaient que nous étions Serbes, de mèche avec les assassins qui avaient assiégé la capitale, et nous rejetaient également. J'ai grandi dans une ambiance étrange, de méfiance et de violence, et ai très tôt appris à me taire et à longer les murs. C'est un peu la même chose aujourd'hui, pas vrai ?

C'est ce climat lugubre qui m'a poussée à vouloir intégrer l'armée bosniaque à mes dix-huit ans, au sortir pénible d'un lycée général qui portait encore les stigmates des bombardements. C'était bien entendu une erreur, parce que je n'étais pas douée pour la brutalité : et la brutalité, c'était quelque chose qu'il vous fallait dans cette institution.
J'ai fait mes classes par défaut, peut-être par désespoir. Pour, pour une fois, être du côté de l'autorité. De ceux qui ont du pouvoir sur les gens, de ceux qui détiennent un semblant de coercition. Cela a débouché sur un service militaire où j'étais malheureuse mais me persuadais du contraire ; j'ai appris les bases de l'organisation d'un groupe armé, les bases du maniement d'une arme, de son entretien. Au terme de deux années sous les drapeaux, j'ai exprimé mon refus de renouveler mon engagement et suis retournée vivre auprès de mes parents.

Je m'y suis sentie encore plus mal qu'à l'armée.

Mon père ne cessait de parler de vengeance, de sa haine du peuple Croate et des dirigeants de Serbie ; ma mère, elle, crachait son mépris des communautés catholiques et orthodoxes de la ville. Chacun à sa manière, ils trouvaient un responsable à leur douleur quotidienne et refusaient de pardonner. Ils n'ont jamais compris que le pardon ne veut pas dire l'oubli. Maintenant, je me dis qu'ils avaient peut-être raison...
Alors j'ai tout plaqué. L'anglais était à peu près la seule matière où je m'étais révélée douée à l'école, et emportant toutes mes économies, j'ai décidé de refaire ma vie aux Etats-Unis et que tout le reste - Sarajevo, ma famille, mes rares amis - aille se faire foutre !

Ça n'a pas été aussi facile que je me l'imaginais. En fait, on n'entre pas comme ça au pays du rêve américain et du renouveau. Je crois que le fait de venir avec en liquide l'équivalent de vingt mois de paye les a convaincus que je venais bel et bien pour tout recommencer ici - à moins qu'il leur manquait simplement des Slaves pour remplir les quotas brandis bien hauts par quelques associations en faveur des immigrés. Qui sait.

J'ai... un peu galéré, au départ. Tout le monde sait qu'il faut un travail pour se voir louer un appartement, mais il faut également un domicile pour être embauché... car malgré mes traits d'Européenne il suffisait que j'ouvre la bouche pour être cataloguée aussi sec sous la mention Russe-ou-quelque-chose-d'approchant. Et les Américains n'aiment pas beaucoup les Russes.

Je me suis installée dans un foyer d'accueil où l'on m'a, au tout début, un peu regardée de travers. Une femme seule, en bonne santé, sans enfants et même avec une certaine somme d'argent n'avait a priori rien à faire ici. C'est une assistante sociale entre deux âges qui m'a quelque peu prise sous son aile en me permettant de décrocher, au bout de quelques mois, un travail de serveuse dans l'un des fast-food à la frontière avec le Mexique.

J'ai beaucoup apprécié le Mexique. Loin de l'image véhiculée par les médias et les séries d'une région gangrenée par la guerre des gangs, j'ai découvert une terre chaude dont le climat de laquelle je suis tombée amoureuse. J'ai également découvert des gens simples, pragmatiques, qui se sont débarrassés de la folie des affaires qui touche la côte Est des Etats-Unis ; pendant trois ans, j'ai lentement ré-appris à vivre loin de la haine de l'autre.

C'est à la télévision que j'ai vu ce casting, cette demande de danseurs-chorégraphes pour une comédie musicale prévue l'année suivante. C'était un petit rêve, le genre qui vous fait sourire en coin et lever les yeux au ciel en vous disant que vous êtes une gamine de l'envisager ; sans vraiment y croire, je me suis inscrite à un club proposant essentiellement de la zumba. Je me disais que dans le pire des cas, ça constituerait un divertissement sympathique deux après-midi dans la semaine. Je me suis présentée... et j'ai été retenue.

Ça peut vous paraître insignifiant. Être prise pour son physique, qu'est-ce que ça peut bien prouver, hein ?
Ça prouvait que cette nouvelle vie n'était pas qu'un songe. Que j'étais réellement en train de la reprendre en main, loin des conflits, loin de la xénophobie, loin de tout ce qui avait failli faire de moi une paumée endoctrinée comme il y en a beaucoup trop en ce monde.

J'ai démissionné pour gagner Seattle où devaient se tenir la préparation et les répétitions pour la comédie. Nous étions payés par avance, moi et tous les autres : une centaine de chorégraphes titulaires, sans même compter les remplaçants ! Pour moi, c'était une hallucinante débauche de moyens financiers, matériels et humains pour organiser un spectacle qui devait ravir le cœur de milliers d'Américains. Parfois, je me disais que mes parents seraient fiers de savoir ce que je faisais ; et à d'autres moments, je me faisais la réflexion qu'ils trouveraient ma démarche futile et superficielle.

C'est au même moment que, avec l'énergie intarissable qui me caractérisait, je fréquentais également une salle de sport afin de conserver ma silhouette athlétique - et puis, c'était un effort d'intégration supplémentaire. C'est là-bas que j'ai rencontré Garry.

***

« Tu es... musulmane ? » ahana-t-il, arquant un sourcil.

J'esquissais un sourire mi-figue mi-raisin, sans ralentir sur mon tapis de course.

« Oui. Mais rassure-toi, je manque déjà d'exploser chaque fois que j'essaie de faire des macaronis au fromage, alors de là à faire une bombe dans mon garage... »

Il éclata de ce rire sonore et vibrant qui le caractérisait, un peu trop bruyant peut-être, mais tellement bon enfant. Ma plaisanterie passa très mal chez ma voisine, dont je remarquais le froncement outré de sourcils du coin de l’œil.
Coincée du cul.

« Mon père travaille dans le bâtiment. Il en a fait sauter, quelques immeubles... Il pourrait te montrer. »
« T'es con » répliquai-je en appuyant sur le bouton réglant la vitesse de défilement de la machine. Son moteur siffla de façon un peu plus aiguë, répondant à la commande.
« Alors ça y est, tu tiens enfin la vitesse 7 ? »
« Enfin ? Tu te traînes encore à la 5 ! »
« Un sandwich à la dinde que je tiens la cadence. »
« Tenu ! »

***

Garry savait ce qu'il voulait et il savait également se donner les moyens de l'obtenir. Nous nous sommes tournés autour pendant quelques temps avant qu'il ne finisse par m'inviter chez lui. C'était un natif de Seattle qui possédait, par héritage, un ranch au Texas dont il ne savait trop quoi faire : c'était son frère qui s'en occupait et l'élevage tournait si bien qu'il recevait presque 900 dollars par mois. En complément de son salaire d'entraîneur sportif, il gagnait plutôt bien sa vie tout en vivant de son loisir.

Ce n'était pas vraiment une histoire d'amour, rien qu'une histoire de sexe. Mais, lentement, cette histoire m'a amenée à songer que ça ne me déplairait pas forcément de devenir maman.  

La comédie-musicale. Notre première a été un peu tiède, avec un public timide. La suivante s'est conclue sur un tonnerre d'applaudissements et les autres ont presque fait vibrer la salle. Oh, bien sûr, le public félicitait les chanteurs plutôt que les danseurs au fond de la scène, mais... cela fait toujours du bien.
C'est comme ça que je suis entrée dans le monde de la chorégraphie. J'ai décroché quelques contrats modestes, pour des clips ou de petits spectacles ; je me suis faite à un train de vie en flux tendus mais qui, finalement, ne me déplaisait pas.

Jusqu'à ce que tout commence à partir en vrille.


on the highway to hell

Ce n'était que de petites choses isolées. Une petite hausse des agressions dans le pays, le sujet de la vente des armes à feu qui revenait un peu plus souvent sur le tapis ; ceux qui en possédaient une s'en vantaient davantage que d'habitude, et puis voilà.

Tu parles.

Ce sont les forums de ces foutus geeks qui ont trouvé les premiers. Moi, ça me faisait bien marrer de lire leurs conneries de zombies sur la toile : je me disais qu'ils s'inventaient une vie plus glauque qu'elle n'était réellement, pour d'obscures raisons dont au fond je me fichais pas mal. Et puis les gens ont commencé à se demander si une nouvelle drogue n'était pas en train de courir les rues ; mon voisin a même évoqué des cachets de combat, façon produit dopant tenu secret pour les forces spéciales mais qui se serait retrouvé écoulé parmi la population. Et le cauchemar s'est intensifié, s'est généralisé. La fameuse théorie du complot est ressortie, comme quoi on payait des paumés pour qu'ils s'en prennent au bon peuple Américain et que l'Etat puisse venir se poser en sauveur providentiel - que du bon pour les ré-élections.

C'est après ça que c'est vraiment parti en couilles. Et vous le savez aussi bien que moi.

La loi martiale. L'affluence des soldats. La... prise de conscience. J'ai essayé de me barricader chez moi, vous savez. Mais ce n'est pas facile de rester seule sur son sofa, à attendre que le temps passe, à surveiller la télévision et la radio. Un jour je suis sortie pour rendre visite à Garry : j'ai trouvé une porte close qui ne s'est jamais ouverte. J'ignorais s'il était parti ou s'il m'a simplement ignorée, mais quoi qu'il en soit, je ne suis pas arrivée à retourner à mon appartement. C'est à l'angle de deux rues que je suis tombée nez à nez avec... ces choses. Toute ne file sortait de mon immeuble, un peu comme d'immenses fourmis revenant d'un pique-nique laissé sans surveillance. Et j'ai compris.

Pour une fois dans ma vie j'aurais mieux fait de croire ce que j'avais lu sur l'internet.

C'est à partir de ce moment que j'ai commencé à changer. À errer dans la ville, avec mon sac à dos et mon couteau de cuisine. Pendant... trop longtemps. Je ne sais pas si c'est la même chose partout, si à Sarajevo il y a la même merde qu'ici. Il aura tout de même fallu la fin du monde pour que mes pensées se tournent à nouveau vers mes parents.

Mais je n'abandonnerai pas. J'ai refait ma vie ici, en Amérique. Ce n'est pas une bande de dégénérés décérébrés qui va me foutre à la porte !

time to meet the devil

• pseudo › Kiwi mais en fait je n'en ai pas vraiment .__.
• âge › 22 ans et toutes mes dents !

• comment as-tu découvert le forum ? › Par recherche Google tout simplement.
• Ton ancien personnage ?  › Niet !
• et tu le trouves comment ? › L'ancien personnage ou le forum ? 8D Le design est assez épuré, il ne saute pas aux yeux et c'est tant mieux. Pour le contenu sachant que les utilisateurs sans couleur ne peuvent pas accéder aux sujets RP, been, j'sais pas trop, mais on va découvrir tout ça !
• présence › C'est variable, normalement je peux passer a minima tous les week-ends.

• code du règlement › Ok By Eve.
• crédit › Zac Hunts (Tumblr)
passeport :

fiche (c) elephant song.
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Re: Liliya Medenko

Mar 15 Mar 2016 - 10:15



bienvenue sur le forum !

Te voilà fraîchement inscrit sur The Walking Dead RPG ! Après avoir lu consciencieusement le règlement du forum, voilà quelques petites choses à retenir pour tes débuts parmi nous :

1 – Le délai pour finir ta fiche est de 10 jours. Un délai supplémentaire peut être accordé par un Administrateur.

2 – Si tu as oublié de le faire avant de t'inscrire, jette un petit coup d’œil aux bottins des noms, des prénoms, des métiers et des avatars.

3 – Lors du choix de ton avatar, il est important de bien respecter ces deux points du règlement : Les images choisies doivent être cohérentes avec le contexte, et l'âge de ton personnage avec l'aspect physique de ta célébrité.

4 – Afin d'éviter les RP répétitifs d'intégration dans un camp, nous te conseillons d'intégrer ton personnage à un groupe dès son histoire !  Si tu choisis d'intégrer le groupe des solitaires, il te faudra conserver ce statut durant 1 mois minimum avant de pouvoir t'installer dans l'un des groupes sédentaires.

5 – Si ton histoire comporte des personnages que tu souhaiterais proposer en Scénario, sache qu'il faudra également patienter 1 mois et être actif en zone RP.

6 – Une fois ta fiche terminée, signale le dans ce sujet AVERTIR ▬ FICHE TERMINÉE.

Bonne rédaction !


Bienvenue !
Si tu as des questions, n'hésite pas Smile
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Re: Liliya Medenko

Mar 15 Mar 2016 - 10:30

C'est joli comme prénom ! Bonne rédaction pour la suite et bienvenue sur WD !
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Re: Liliya Medenko

Mar 15 Mar 2016 - 12:16

Bienvenue à toi !!! :MisterGreen:
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Re: Liliya Medenko

Mar 15 Mar 2016 - 12:18

Hellcome Smile
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Re: Liliya Medenko

Mar 15 Mar 2016 - 12:19

Bienvenue parmis nous Very Happy
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Re: Liliya Medenko

Sam 19 Mar 2016 - 11:21

Alors j'ai lu !

Et malheureusement je ne peux pas valider ta fiche en l'état ! Il va falloir modifier quelques petites choses avant.
Je vais commencer dans l'ordre en tentant de t'expliquer au mieux ce qui ne va/colle pas !

Concernant la caractère : Le texte n'explique pas réellement sa façon d'être. Dans cette partie tu dois nous expliquer comment est ton personnage. Quel caractère il a, il a pu avoir, enfin bref tout le côté psychologique de ton personnage. Les aventures de sa vie ou ses souhaits n'y ont pas leur place ! Il faut trier un peu tout ça.

Aussi, "Surmonte la peur" et "Ne connait pas le pardon" seraient mieux une fois remplacés par des synonymes. Du genre, "Courageuse" et "Très rancunière" ou quelque chose dans le style Wink.

Passons aux équipements ainsi qu'à sa description physique,
Alors, là, concernant le physique ça va ! Il y a ce qu'il faut. C'est plus au niveau des équipements. Il n'y a rien. Au début ça m'a surpris mais une fois ta fiche lue en entier j'ai mieux compris pourquoi (mais ça, j'y reviendrai plus tard.) Donc, Liliya ne survit pas sans rien. Elle a forcément une arme. Qu'importe le genre d'arme, mais elle ne peut pas passer son temps à courir, il y aura forcément un moment où elle aura du faire face aux infectés.
Donc il me faut un peu plus dans cette partie. Ses armes, ce qu'elle trimbale sur elle etc..

Passons à l'histoire avant apo :

Alors déjà, c'est très recherché. J'ai apprécié tes recherches (ou tes connaissances tout simplement) concernant le conflit Serbe/Croates. C'est bien mené, j'ai beaucoup aimé !
J'ai qu'un soucis de logique. Elle part donc aux States, cependant, comment expliques-tu qu'elle puisse y rester ? L'obtention de la Green Card par l'argent ? Il faut, quand même, une certaine somme (500.000$ au minimum, ce n'est pas rien.) Et même quand tu parles de "plusieurs mois de salaires" ça me paraît énorme. Lili aurait eu un salaire approximatif de 25.000$ par mois XD Pour une soldate, c'est fifou quand même !

Enfin bref, ce n'est pas très logique ! Il faudra voir pour expliquer d'une meilleure façon son arrivée aux USA !

Ensuite, j'ai un soucis de cohérence vis à vis de son métier ! Elle devient danseuse, un peu..."comme ça" x) Elle prend quelques cours de zumba, qui n'apportent pas grand chose en danse et elle arrive à intégrer une troupe. Ca me paraît un peu simple/facile. Surtout quand on voit combien les danseuses, diplômées ou non, qui ont souvent de l'expérience et de nombreuses années de pratiques galèrent pour être retenues aux castings. Je pense que tu peux tourner la chose pour que son expériences et son talent de danseuse ressorte plus tôt dans ta fiche !

Ensuite, c'est concernant la partie Après Apo :

Au début c'est bien. Tu expliques chaque passage, ce qui montre que tu as bien lu notre chronologie. Puis après HOP, on saute un peu tout parce qu'on en a marre d'écrire cette fiche et on veut aller vitevite Laughing
Je rigole bien sûr mais la fin de cette partie de ton histoire est bien trop légère. Tu expliques le début des évènements dans le détail mais après tu englobes le tout sous "elle a galéré" (en gros.) Il nous faut le détail. Où est elle allée pendant tous ces mois ? A t-elle fait des rencontres ?
Comme je te disais au début de mon post, dans le caractère, tu dis que Liliya a perdu plein de gens, que ça l'a transformée et tout et tout, mais là, pour moi, elle n'a perdu personne. Il nous faut du détail, beaucoup plus de détail durant les mois qui ont suivit jusqu'à Mars 2016 !


Voilà ! Une fois que ça sera modifié, fait moi signe dans le sujet "Avertir - Fiche Modifiée"
Bon courage et, si tu as des questions, n'hésite pas !
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Re: Liliya Medenko

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